L’état australien de Victoria, dirigé par Daniel Andrews désire intégrer la BRI malgré les réserves du gouvernement fédéral.
L’état de Victoria et la BRI : quelle perspective ?

L’état australien de Victoria, dirigé par Daniel Andrews désire intégrer la BRI malgré les réserves du gouvernement fédéral.
En novembre 2019, les Etats-Unis, le Japon et l’Australie ont lancé le réseau “Blue Dot”. Ce nouveau programme pourrait-il concurrencer la BRI chinoise?
Avec la BRI, le chinois est une langue très attirante pour les étudiants du monde entier, mais la Chine apprend aussi de nombreuses langues locales.
Les Etats-Unis vont financer un projet de gaz naturel liquéfié en Papouasie: comment cela impacte la BRI? Les besoins en infrastructures y sont immenses.
Début mai 2019, la Nouvelle-Zélande a annoncé qu’elle était prête à collaborer avec la Chine pour développer un partenariat gagnant-gagnant sur l’initiative « Belt and Road ». L’approche de Wellington est intéressante et se démarque de certains autres membres de la BRI,
Suite au sommet de l’APEC qui s’est tenu à Port Moresby en Papouasie-Nouvelle Guinée (les 17 et 18 novembre 2018), plusieurs états du Pacifique ont réaffirmé leur intention de rejoindre la BRI, et ont répondu ainsi au souhait du président chinois.
En octobre 2018, l’état australien de Victoria a officiellement apporté son soutien à la BRI. Son premier ministre Daniel Andrews et Cheng Jingye l’ambassadeur de Chine en Australie ont signé un mémorandum d’entente sur la BRI.
Le secrétaire d’état américain Mike Pompeo annonçait le 30 juillet 2018, lors du Forum Indo-Pacific Business le lancement prochain d’un plan de développement des infrastructures en Asie.
Le premier ministre de Papouasie Nouvelle Guinée Peter O’Neill a rencontré le président chinois Xi Jinping lors d’une visite officielle à Beijing le 21 juin 2018: la Papouasie Nouvelle Guinée rejoint l’initiative “Belt and Road”.